Récits d'esclaves

Chaque voix doit être entendue



A propos



L’idée de ce site internet m’est venue au début de mes recherches pour mon doctorat. Je travaille sur les récits d’esclaves publiés avant la guerre de Sécession et je me suis vite rendu compte que la liste des récits ne fait pas consensus parmi les chercheurs et ceux qui en proposent une liste n’expliquent pas vraiment sur quels critères les récits sont inclus et les listes diffèrent entre elles. Le but de ce site est donc de présenter une liste la plus exhaustive possible des récits qui sont cités par les différents chercheurs mais avec des commentaires sur ce qui fait qu’ils sont (ou pas) des récits d’esclaves. Pour l’instant nous nous concentrons sur les récits écrits avant la guerre de Sécession mais il n’est pas exclu que le site évolue et qu’il englobe également les récits écrits après.


Pour toute remarque, questions ou si vous notez une erreur, merci de m’écrire à recits-esclaves@univ-tlse2.fr
Marie-Pierre Baduel
Laboratoire CAS (CENTER FOR ANGLOPHONE STUDIES)
Université Toulouse Jean Jaurès



Remerciements

Je tiens tout d’abord à remercier Khaled Al Mughrabi, Fabien Fock Ying Chu, Valentin Houdu, Mohammed Jarallah, Émilien Nimal et Dany Neang, étudiants en L3 informatique à l’Université Toulouse III Paul Sabatier, qui ont conçu le cahier des charges et aidé à « débroussailler » une idée du site assez vague au début par leurs questions et suggestions. Sarah Wroblewski, Lazare Sauger Chevillot et Léo Le Gourriérec, étudiants en Master 1 SIGMA ont mis au point les cartes puis Florent Laidin, étudiant en Master 2 SIGMA a créé le site avec l’aide de ces cartes (Louise Thomas a également contribué au site par son travail sur les questions de sécurité). Tout ceci n’aurait pas été possible sans l’aide de M. Laurent Jégou, co-responsable du Master SIGMA, son aide et ses conseils (qui ont été au-delà du seul encadrement des bureaux d’étude) ont été précieux. Je remercie également, toujours, Nathalie Dessens, ma directrice de thèse, pour ses encouragements, ses conseils et son soutien pour ce qui était une idée un peu folle au départ.

Marie-Pierre Baduel
Laboratoire CAS (CENTER FOR ANGLOPHONE STUDIES)
Université Toulouse Jean Jaurès